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 La nuit, tous les Necros sont gris... maw ! [PV Ilya]

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MessageSujet: La nuit, tous les Necros sont gris... maw ! [PV Ilya]   La nuit, tous les Necros sont gris... maw ! [PV Ilya] EmptyMar 21 Juin - 1:34

    "Vous discutez mes ordres Capitaine ?
    - Si j'avais la pleine possession de ma pierre je vous les enfoncerais où ils vous font le plus mal, mon Général! "

    Un silence tendu régnait dans la pièce. D'un côté de la table, mains sur les genoux, toisant de son regard gris, terriblement dur, le Général du Continent, responsable des villes alentours à Jeyna. De l'autre, Melody, dont le visage était illuminé par sa pierre, luisant à travers son armure. Main levée, brûlante, elle pulsait presque d'envie de botter le derrière du Général de pacotille qu'on avait affecté à la ville. Tout ça parce qu'elle s'était fait aspirer ses pouvoirs... maudit Arcil.

    "Capitaine Gony, la raison pour laquelle je ne vous déshabille pas avant de vous rouler dans la pelouse pleine de détritus de l'Académie, attachée à un cheval malade est uniquement que je tiens en grand respect votre.. associé de jadis, Jared.
    - Laissez Jared en dehors de ça Général de mes... aïeux, ou je vous jure que...
    - Cependant, notre Grand Roi a été clair. Aucune insubordination tolérée, même venant de votre part. Vous serez de surveillance des toits cette nuit, et ne me chantez pas que vous n'avez plus d'ailes je suis au courant. Débrouillez-vous, vous prendrez le quartier proche de l'ancien palais.
    - Mais !
    - Pas de mais, rompez !"
* * *
    De mauvaise humeur, casque sur la tête, Melody se retrouvait donc au couvre-feu sur le toit du palais de la Sainteville. Seule, bien entendu, et sans lueur aucune. Comme punition, on lui avait affecté le quartier non seulement le plus ennuyeux mais en plus le plus dangereux de la ville. Rien ne s'y passait du point de vue des autorités et autres gangs. Par contre, c'était le coin préféré des Mimics et autres saloperies attirées par des déchets magiques. Des déchets magiques comme elle pouvait l'être depuis qu'elle devait réapprendre à user de sa pierre comme elle le faisait auparavant. L'Arcil semblait avoir laissé une drôle de marque sur elle. En fait, trois bizarreries qu'elle avait remarqué au fur et à mesure de la reprise de son entraînement.

    Premièrement- elle y pensa en sautant d'un toit à l'autre, se rattrapant à la cheminée- elle n'était en mesure d'éteindre sa pierre, consommant ainsi en permanence de son pouvoir, et la faisant luire au moindre choc émotionnel ou à la plus petite chaleur corporelle. De jour, cela faisait rire le régiment dont elle était responsable au palais royal. De nuit, même sous son armure, elle avait l'impression d'être ridicule et absolument inutile car de loin, selon sa position, on apercevait le bleu de son éclat.

    Deuxièmement- elle sauta sur le toit du palais, chassant d'une brûlure vive un mimic qui s'enfuit dans un bruit de caoutchouc- elle semblait attirer les dévoreurs de reste comme le sang attirait les pix-bees. Ils la suivaient de partout, et même lorsqu'elle était dans l'enceinte même du palais, la seule chose qui retenait les quelques parasites était de savoir que de l'autre côté des dizaines de possesseurs de pierres, et pas des plus faibles, étaient prêts à utiliser leur corps et leur fumée pour faire des catalyseurs.

    Dernièrement- postée au sommet du clocher, trois fleurets dans le dos, elle plissa les yeux pour scruter les environs- elle semblait repousser et effrayer tout possesseur de pierre de sa simple présence. Sans pour autant être dangereuse, elle mettait mal à l'aise toutes les personnes qu'elle rencontrait. De ce fait, on l'avait éloignée du palais, la Comtesse de Machinchose, une de celles qui avaient retourné leur veste- s'étant sentie mal en sa présence. Il n'y avait que Jared, touché lui aussi par l'Arcil, qui n'ait aucun problème à la fréquenter. Et ce, sans compter sur le fait que son caractère n'était pas allé en s'améliorant avec la perte de ce qu'elle était : un pouvoir immense.

    Un mouvement, à peine perceptible, attira son regard. Vive, elle se laissa glisser le long de la corde du clocher et fit violemment retentir la cloche, sonnant ainsi le couvre-feu, et dégainant d'un même geste ses fleurets qui vinrent tous trois se ficher dans le sol, droits comme des piquets.

    " Par les bourses de Titan, y'a vraiment des inconscients."

    Avec une grâce toute relative- comprenez, en se cassant à moitié la gueule- elle se laissa tomber avec une roulade moins douloureuse que ce qu'elle aurait pu imaginer devant un.. passant. Après le couvre feu... et sourit, main devant.

    "Le couvre-feu est passé depuis plus de dix minutes, vous n'êtes pas sensé être à l'extérieur. Veuillez regagner votre domicile ou à défaut une auberge faute de quoi vous serez en état d’arrestation."

    Sa voix, rendue caverneuse par le heaume qui lui cachait le visage, restait cependant fluette. Et forte de son mètre soixante, elle se tenait très droite, et extrêmement sérieuse. Surveillance du palais hein ? Et bien, elle appliquerait les lois, et ils verraient bien.

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MessageSujet: Re: La nuit, tous les Necros sont gris... maw ! [PV Ilya]   La nuit, tous les Necros sont gris... maw ! [PV Ilya] EmptyMar 21 Juin - 21:44

Épuisé serait une sous estimation de l'état actuel du rouquin qui venait de se laisser glisser contre un mur, un souffle rauque s'échappant de ses lèvres gercées. Il avait du sang autours de la bouche, séché et écaillé, et ses jambes tremblaient légèrement, tout comme ses mains crasseuses. À sa ceinture un poignard et une bourse - vide - et autours de son poignet, un bracelet argenté orné d'une pierre verdâtre pulsant faiblement.

Sa journée avait été... mouvementée, c'est le moindre qu'on puisse dire. Il avait commencé en se faisant engueuler par son patron actuel pour son manque de soin, ou quelque chose du genre, il ne s'en souvenait pas exactement. Ça ça n'avait rien de trop inhabituel, après tout cet homme était d'une humeur massacrante soixante dix pour cent du temps et dormait le reste, et Ilya se laissait normalement enguirlander sans trop protester, alors il faisait une cible idéale pour les sautes d'humeur du petit homme. Sauf que, pour une raison qu'il ne comprenait toujours pas, au lieu de se calmer après dix à vingt minutes, le type était parti en vrille, tellement qu'il avait finit par envoyer au plancher le grand efflanqué qui ne lui avait rien demandé d'un violent coup de poing dans le ventre, ce qui déplut fortement à sa pierre qui se déclencha presque instantanément. En conséquent, les quelques curieux qui avaient eu le malheur de se trouver autours d'eux à ce moment s'écroulèrent en même temps que le roux, qui se plia en deux et se mit à cracher ses entrailles, les larmes aux yeux. Évidement, ce n'était pas du meilleur effet, et le patron du petit bar dans lequel il était employé depuis quelques semaines le mit à la porte entre deux quintes de toux et lui claqua la porte au nez.
Ça, c'était vers midi.

Et avec sa chance, il n'avait pas eu sa paye pour la dernière semaine, le laissant à errer le long de la rue marchante, les épaules basses et le ventre vide, épuisé et terriblement tenté par toutes les bonnes choses qu'on pouvait s'offrir quand on n'a pas les poches trouées. Il réussit finalement à subtiliser deux pommes, pas de quoi te nourrir mais c'est pas vraiment facile d'être discret quand on mesure presque deux mètres, qu'on est couvert de taches de rousseur comme des éclaboussures de peinture et qu'on crache du sang à intervalles irréguliers. Il passa le reste de la journée à errer d'une rue à l'autre, sans grand espoir de trouver un autre boulot, jusqu'à réussir à se perdre dans sa propre ville, ruelle par ruelle, détour après détour, jusqu'à se matérialiser, épuisé, donc, devant un long mur qu'il reconnu comme une des murailles entourant le château. Il s'était retrouvé dans un quartier très calme, mais assez sombre, qui, si ses souvenirs étaient exacts, grouillait en plus de toutes sortes de saloperies. Génial.
Mais il était trop crevé pour s'intéresser au problème, et s'affaissa contre ladite muraille, ce qui nous ramène à notre situation de départ. À peine eut il fermé les yeux que le bruit de la cloche du couvre feu le fit sursauter soudainement et lever les yeux vers le ciel bleu presque noir de la nuit qu'il n'avait pas vue tomber. Il était déjà aussi tard que ça!?

Il se leva, et l'instant d'après, un soldat se matérialisa devant lui dans une roulade... disgracieuse, mais nous n'allons pas critiquer quand nous même sommes du genre à nous arracher les poumons sans avertissement au préalable. Ah en fait non, après rapide inspection (et un pas en arrière pour se retrouver contre le mur, merde) il s'agissait d'une soldate, et pas très grande si plus est, surtout par rapport à cette espèce de grand rouquin pataud qui la regardait avec ses yeux gris et ornés de cernes profondes. Il étouffa un bâillement, et hocha sagement la tête quand elle lui fit comprendre, sur un ton calme mais ne laissant pas d'espace pour la discussion que sa présence ici n'était pas désirée et qu'il ferait bien de disparaître. La grande question étant où, parce qu'il doutait fortement qu'il y ait des masses d'auberges dans le coin qui le laisseraient squatter sans payer, surtout dans l'était dans lequel il était. Il devait avoir une sale tête, mon Dieu... C'était très intelligent d'avoir traîné jusqu'au couvre feu.

-"Oui, oui, bien sûr, je- j'avais pas vu, j- désolé, je m'en vais."

C'est bien, rester concis, ne pas raconter n'importe quoi. Encore un peu et t'y est! Sa voix était grave et un peu rauque, fatiguée, mais malgré tout agréable, comme usée et polie par les événements. Un sourire désolé se traça sur ses lèvres, il vérifia distraitement qu'il n'avait rien oublié derrière lui, et s'apprêta à partir dans une direction aléatoire juste pour sortir des pattes de cette demoiselle qui n'avait pas méritée de l'avoir sur le bras et qui en plus n'avait pas l'air de plaisanter. Et puis quelque chose le dérangeait vaguement avec elle, sans qu'il puisse dire exactement quoi. Enfin, en plus du fait que, par défaut, il était toujours mal à l'aise en présence d'un femme, depuis la mort de sa mère. Ou un peu avant, peut-être.

Sauf que les choses ne se passent jamais comme on le veut sinon il n'y aurait pas d'histoire. Dans l'ombre entre deux maisons, quelque chose de métallique tomba au sol dans un claquement soudain, arrêtant le jeune homme dans son mouvement. Quelques secondes de silence s'en suivirent, et puis une masse sembla bouger un instant avant de s'immobiliser à nouveau, hésitante, attendant une réaction de la part des deux possesseurs de pierres.
Euh, il était pas pressé de servir de dîner non plus, hein...

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MessageSujet: Re: La nuit, tous les Necros sont gris... maw ! [PV Ilya]   La nuit, tous les Necros sont gris... maw ! [PV Ilya] EmptyVen 24 Juin - 22:36

    Grand, tout maigre et parsemé de tâches de rousseur. Le clochard- elle ne voyait pas d'autre explication- en face d'elle donnait l'air de quelqu'un de profondément malade. A vrai dire, elle pouvait sentir au fond d'elle la marque significative du porteur de pierre malade, de là à savoir qui de lui ou de son cristal l'était le plus, elle préférait ne pas s'avancer et rester à distance. Fatigué, le roux étouffa un bâillement avant de lui répondre... presque docilement. Surprise, Melody quitta sa garde et se redressa, ramassant un de ses fleurets.

    "Vous allez bien? Vous êtes pâle. Je n'ai pas le droit de quitter mon poste mais il y a une auberge au coin de la troisième rue à gauche, ils me connaissent, expliquez-leur la situation. Vous..."

    Un clic, juste semblable à ceux qu'elle détestait, se fit entendre au coin de la place. Un clic bref, de métal éclaté. Précisément celui que faisait une arme quand elle tombait entre les dents magiques des résidus que sont les Mimics. Silencieuse, à l'unisson avec le civil, elle se tourna, et resta figée. Masse fumeuse, d'un noir bleuté, dont les bras s'approchaient lentement, presque avec prudence. Deux yeux brillants sortirent de la volute, la toisèrent avec une sorte de regard mignon. Semblable à celui qu'a un chaton avant de sauter sur une sauterelle. Ravie d'avoir un peu d'animation dans cette ruelle minuscule, elle poussa légèrement plus sa pierre et se mit à luire de l'intérieur de son armure, oubliant soudain qu'elle devait veiller au couvre-feu. Après tout, la sécurité du quartier passait avant le sommeil de ses habitants non ?

    D'un geste fluide, maîtrisé, elle ramassa les trois fleurets aux pieds d'Ilya et en rajouta deux, alors que la forme fumeuse prit une silhouette rachitique, une imitation de structure humaine aux joues creusées et à la stature morte. Une bouche énorme, béante, prête à aspirer tout ce qui s'approcherait. Rompue aux arts du sabre, Melody envoya sa première lame et coupa la forme en deux, la faisant vaciller un moment. Devant cet aplomb, le mimic l'entoura, couvrant de noir la scène. La chrysalide étira ses lèvres d'un sourire presque malin.

    "Je vais te donner la fessée du siècle tas de merde."

    Fermant les yeux une fraction de seconde-celle qu'il fallut à la forme pour prendre apparence de squelette humain- elle fit chauffer l'eau contenue autours d'elle, brûlant la créature qui laissa échapper un petit bruit semblable à un hurlement porcin. Puis, d'une estocade bien placée, elle cloua le mimic contre le mur voisin, d'une lame entre les côtes. Furieux, il se débattit, puis cessa, vexé de s'être fait avoir si facilement.

    "Vous ne comprendrez donc jamais... allez bouffer du macchabée et cessez de venir tuer d'innocents porteurs de pierre. Je devrais te laisser là jusqu'à ce que la lumière te décompose, vieux débris."

    Prudente tout de même, Melody planta une seconde lame dans le bassin osseux de la créature, et lança un rayon chaud en direction de la ruelle. Plusieurs petits cris lui confirmèrent la présence d'autres comme lui.

    "Dégagez de là ! Ce n'est pas ce soir que vous tuerez bande de larves!"

    Le cloué lui répondit par un sifflement outré.

    "Toi, ta... gueule ? Ta mâchoire, tiens. Monsieur." Elle se tourna de nouveau vers le passant. "La rue n'est pas sûre. Aidez-moi à virer les quatre ou cinq qui restent et à les clouer et je vous laisse filer. " Un coup d'oeil critique à son état lui tira un sourire, elle leva la visière de son heaume et lui offrit un regard luisant de pouvoir. "Enfin, avec une douche et un repas."

    Le mimic cloué s'agita, mais ne parvint pas à se détacher. Dans la lumière de la lune, ils ne pouvaient plus se transformer en volute.

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MessageSujet: Re: La nuit, tous les Necros sont gris... maw ! [PV Ilya]   La nuit, tous les Necros sont gris... maw ! [PV Ilya] EmptyMar 28 Juin - 18:11

Ilya n'avait pas eu le temps de répondre à la question de la jeune demoiselle, la masse dans l'ombre ayant doucement pris une forme vaguement fumeuse qui se précisait petit à petit en silhouette humaine, rachitique, osseuse et étrange, comme si la créature n'avait qu'une idée sommaire de la façon dont étaient structurés les hommes. En tout cas, si lui ça lui retournait l'estomac et ne le rassurait pas le moindre du monde, la demoiselle qu'il venait de rencontrer, elle, semblait trouver ça plus distrayant qu'autre chose. Elle semblait ricaner, récupérant ses armes et en envoyant une sans plus se poser de question sur la volute famélique qui se fendit en deux sous le coup. Ah ok, on se demande pas pourquoi elle était dans l'armée, elle. Non parce que, personnellement, j'aurais quand même hésité un peu avant d'aller charcuter des bêtes d'apparence immatérielles qui me considêrent comme leur casse-croûte. D'un autre côté, la soldate semblait beaucoup plus familière avec ce type de rencontre que lui, qui préférait éviter de se retrouver dans ce genre de situations. Enfin, maintenant c'était un peu tard pour changer d'avis, hein.

Le rouquin recula d'un pas quand la chose engloba la jeune femme, figé, et un peu estomaqué qu'elle ait pu se faire gober aussi vite, mais il n'eut même pas le temps de se décider entre intervenir et prendre ses jambes à son cou que la chose était clouée au mur, gigotant lamentablement, sifflant et couinant, frustrée. Bon, au moins il ne s'inquiéterait pas que la ville est bien gardée.

"Monsieur-"

Après avoir confirmé la présence d'une poignée d'autres créatures semblables, la jeune fille s'était à nouveau tournée vers lui, pour lui demander... un coup de main? Tu m'as regardée, petite? Visiblement oui, parce qu'elle lui offrit un repas et un lit pour la nuit en échange de son aide, ce qui n'était pas sans attrait. Sauf qu'Ilya n'était pas exactement le modèle du guerrier sans peur et sans crainte, volant à la rescousse du peuple pour le bien de tous, pourfendant les dragons pour sauver des princesses. En fait, il était plus proche du contraire, se vendant à qui voulait bien payer pour l'employer, habile de ses mains mais pas vraiment taillé pour le combat, sans parler du léger détail qu'il n'était armé que d'un poignard.

Mais il n'eut pas vraiment le temps de faire part de ces réflexions très profondes et certainement pas inutiles dans la présente situation à la jeune femme, parce que, surgissant de l'obscurité, deux autres de ces créatures avaient décidé de se jeter sur eux, et il pouvait en discerner encore au moins deux de plus tapies dans l'ombre du mur, observant ce que deviendraient les deux plus téméraires. Ilya eut à peine le temps de se jeter sur le côté que la créature, vague mélange entre un cadavre osseux et une créature quadripède déboula près de lui, le manquant de peu. Sauf qu'avec l'élan qu'elle avait pris, elle ne réussit pas vraiment à freiner à temps pour faire demi-tour, et pendant qu'elle pédalait de façon désordonnée pour s'arrêter, l'homme s'était relevé et lancé à sa poursuite, maintenant derrière elle, saisissant sa chance pour l'attraper par une côte qui qui dépassait et la faire continuer dans sa lancée, la bête se fracassant du coup assez lamentablement contre la première, clouée au mur. Bon, après, il n'avait trop rien d'utile pour l'épingler, c'est malin...

-"C'est... organique, ces- bêtes?"

Il s'était retourné vers la jeune femme pour lui poser la question, une... certaine inquiétude se faisant sentir dans sa voix. Il savait que si les créatures n'étaient pas faite que de magie, mais aussi composées quelque part d'organes et de cellules, même pas vivantes, il pouvait toujours tenter d'user de son pouvoir si la situation le demandait absolument. Mais il n'eut pas vraiment le temps d'attendre une réponse, une autre mimic s'étant matérialisée devant lui, il n'aurait pu dire d'où, et se dressant maintenant aussi haut que lui, mais avec plus de dents.
Ai je déjà mentionné que ce n'était pas sa journée?

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